L’aménagement hydroélectrique de Sambangalou sera construit par China gezhouba group
Ecofinance.sn – (Dakar) - China Gezhouba group corp. Ltd a été déclaré adjudicataire provisoire du marché de construction de l’aménagement hydroélectrique de Sambangalou par l’Omvg.
China gezhouba group rafle la mise. Selon Justino Vieira, secrétaire exécutif de cette organisation sous-régionale, c’est elle qui a été retenu par le conseil des ministres de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (Omvg) sur les 7 entreprises de la liste restreinte qui ont présenté leurs offres techniques et financières.
M. Vieira s’exprimait mercredi à Dakar lors de la 3ième table ronde des partenaires techniques et financiers.
D’après lui, c’est l’adjudicataire qui réalisera l’aménagement du barrage hydroélectrique de Sambangalou au Sénégal sur le fleuve Gambie d’une puissance installée de 128 Mw et la construction d’un réseau d’interconnexion à haute tension pour l’évacuation de l’énergie, comprenant 1.677 km de lignes à 225 Kv et 15 postes de transformation haute tension/moyenne tension.
Il signale que le délai de réalisation de ces infrastructures est de 50 mois et que la procédure de finalisation de mise au point du contrat est en cours et sa signature interviendra prochainement.
Selon Justino Vieira, les requêtes de financement concessionnel conjointes des pays éligibles de l’Omvg sont en cours de préparation et d’envoi à China eximbank.
Le coût global du projet est de 837,54 millions d’euros, hors taxes et droits de douane, soit 1.108,48 millions de dollars Usd, dont 343,43 millions d’euros pour Sambangalou et 494,11 millions d’euros pour l’interconnexion
PROTECTION SOCIALE : la généralisation des pools assurances-santé/micro-crédit préconisée
Ecofinance.sn – (Dakar) – Le Cnp propose au gouvernement la généralisation des ‘’pools assurance-santé/micro-crédit pour mieux assurer une bonne protection sociale.
Le Conseil national du patronat du Sénégal (Cnp) n’est pas resté indifférent à la volonté de l’Etat de porter le taux de couverture de la population de 18 pour cent en 2013 à 33 pour cent en 20144.
En plus de saluer cette mesure annoncée par le premier ministre dans sa déclaration de politique générale, il propose l’élargissement de la protection sociale à toutes les couches vulnérables et non vulnérables.
«…Nous proposons la généralisation des pools assurance-santé/micro-crédit mis en place par les professionnels de l’assurance et permettant d’avoir un travail décent et productif, de faire face aux aléas de l’existence, de bénéficier des meilleurs soins disponibles et de vieillir dans la dignité», a déclaré son président, Baïdy Agne.
M. Agne qui s’exprimait mercredi à Dakar en marge de leur assemblée générale s’estime heureux de constater la dotation de 5 milliards F Cfa que l’Etat a apporté cette année aux couches les plus vulnérables, au titre de la couverture maladie universelle, et à consolider pour les années à venir.
Pour les autres couches non vulnérables par contre, le Cnp plaide pour une protection sociale qui privilégie le travail. Il s’agit d’une protection sociale en milieu rural et urbain qui permet l’accès au travail, une meilleure insertion dans la vie professionnelle et ne se substituant pas au travail.
L’Etat peut faire plus pour l’habitat social
«Nous disons à l’Etat que nous pouvons faire plus dans le cadre d’un partenariat public/privé attribuant aux promoteurs immobilier privés/Sicap/Snhlm, une assiette foncière leur permettant de réaliser un programme ambitieux de 500.000 logements en 10 ans sur l’ensemble du territoire national», a déclaré mercredi Baïdy Agne lors d’un point de presse axé sur la récente déclaration de politique générale du premier ministre.
Pour lui, faire plus est possible à la condition de résoudre l’équation aux triple F (foncier, financement et fiscalité).
A cet égard, le Cnp note avec satisfaction la décision de l’Etat de viabiliser avec la Snhlm plus de 7.500 parcelles sur le territoire national et la construction de 3.400 logements à Diamniadio, ainsi qu’avec la Caisse de dépôts et de consignation la construction de 5.000 logements sociaux à Bambilor d’ici 2017.
Le Cnp optimiste pour une croissance de 6 pour cent en 2014
Le Conseil national du patronat du Sénégal (Cnp) ne doute de la réalisation d’une croissance de 6 pour cent prévue en 2014 par l’Etat.
«Comment pourrions-nous ne pas atteindre l’objectif de croissance à 6 pour cent si la vision du gouvernement déclinée dans la déclaration de politique générale se traduit en acte concret au plus tard en janvier 2014», a indiqué son président Baïdy Agne.
Pour M. Agne qui s’exprimait mercredi à Dakar lors d’un point de presse, il s’agit d’accorder un soutien substantiel à la production nationale, de réduire la dépendance alimentaire, de consommer davantage la production du Sénégal, de mieux sécuriser juridiquement et judiciairement l’investissement productif, de relancer la commande publique.
Il s’agit également d’améliorer la qualité du service public, de rendre opérationnels les nouveaux instruments financiers (Banque nationale de développement économique, Fonds de garantie des investissements prioritaires, Fonds souverain d’investissement stratégique), d’accélérer la réalisation des grands chantiers présidentiels, ainsi que de définir un nouveau cadre de partenariat public/privé privilégiant la préférence nationale responsable.
Le président du Cnp pense qu’avec de telle vision qui se traduit en acte concret, il y a lieu d’être optimiste.
DOING BUSINESS : le Cnp s’interroge sur les contreperformances du Sénégal
Ecofinance.sn – (Dakar) - Le Cnp ne comprend pas les contre-performances persistantes du Sénégal au regard de ses atouts comparativement à d’autres pays.
Les contre-performances du Sénégal dans le doing business 2014 préoccupent le Conseil national du patronat du Sénégal (Cnp). Pour son président, Baïdy Agne, qui s’exprimait mercredi à Dakar en marge de leur assemblée générale, celles-ci sont incompréhensibles au regard des avantages du pays en matière de paix sociale, notamment.
«Comment comprendre notre contre-performance depuis quelques années le doing business au regard des atouts du Sénégal comparativement à d’autres pays : état de droit, démocratie, paix sociale, stabilité politique, politique macro-économique saine, etc ?», s’interroge t-il.
En 2012, le Sénégal était classé 154ième sur 183 pays, en 2013, 166ième sur 185 pays, et le classement pour 2014 est de 179ième sur 189 pays.
Faisant la comparaison de 2013, M. Agne relève les nombreuses places perdues par le Sénégal, notamment sur la création d’entreprise (4), le permis de construire (4), l’accès au crédit (4), une place sur la protection des investisseurs et 16 places sur la facilitation dans l’exécution des contrats.
Abordant la hausse de l’impôt sur les sociétés de 25 à 30 pour cent, l’impact négatif de cette mesure sur le classement du Sénégal dans le doing business 2014 n’est pas une surprise pour lui.
«C’était prévisible», dit-il.
Singapour premier au classement général de la facilité à faire des affaires
Ecofinance.sn – (Dakar) - La rapport doing business classe Singapour premier pays où il est facile de faire des affaires.
Singapour figure au premier rang du classement général du nouveau rapport doing business des 10 meilleures économies dont les règlementations sont favorables au cadre des affaires.
Viennent en suite la région administrative spéciale de Hong Kong (Chine), la Nouvelle Zélande, les Etats-Unis d’Amérique, le Danemark, la Malaisie, la République de Corée, la Géorgie, la Norvège et enfin le Royaume Uni.
Outre le classement général, Doing Business met chaque année l’accent sur les économies qui ont le plus amélioré, par rapport à l’année précédente, leurs règlementations liées aux indicateurs mesurés par Doing Business.
Les 10 économies qui ont progressé le plus sont (par ordre croissant d’amélioration) l’Ukraine, le Rwanda, la Russie, les Philippines, le Kosovo, Djibouti, la Côte d’Ivoire, le Burundi, l'ex République yougoslave de Macédoine et le Guatemala.
Pourtant, il reste beaucoup de défis à relever dans cinq de ces pays (Burundi, Côte d’Ivoire, Djibouti, les Philippines et l’Ukraine) qui sont encore dans la deuxième moitié du classement général, selon le rapport.
A propos de ce rapport
Ce rapport phare, produit d’une collaboration étroite entre la Banque mondiale et la Société Financière d’Investissement, examine les régulations qui affectent les différentes étapes de la vie d’une entreprise, allant de la création d’entreprise, au commerce transfrontalier, en passant par le paiement des taxes et la résolution de l’insolvabilité.
AMELIORATION DE LA REGLEMENTATION DES AFFAIRES : le Sénégal cité nulle part dans les références
Ecofinance.sn – (Dakar) - Le Sénégal n’est pas cités parmi les économies de l’Afrique subsaharienne qui ont le plus amélioré la réglementation des affaires.
Le Sénégal n’est pas cité comme une référence en matière réglementation des affaires. Le nouveau rapport du Groupe de la Banque mondiale (Bm) publié aujourd’hui intitulé Doing business 2014 : comprendre les réglementations pour les petites et moyennes entreprises, n’a nullement fait allusion au pays de la Teranga dans ce domaine.
Par contre, le document range le Burundi, la Côte d’Ivoire, et le Rwanda parmi les 10 économies qui ont le plus amélioré la règlementation des affaires.
Il constate aussi que parmi les 20 économies qui ont le plus reformé la règlementation des affaires depuis 2009, 9 proviennent de l’Afrique subsaharienne. Le Sénégal n’en fait pas partie. Au contraire, le rapport cite le Burundi, la Sierra Leone, la Guinée Bissau, le Rwanda, le Togo, le Bénin, le Liberia, la Côte d’Ivoire et la Guinée.
Il montre également que sur les 47 économies de la région, 31 d’entre elles ont implémenté au moins une réforme en 2012-13. A cet égard, il cite le Rwanda, qui en a enregistré le plus et a mis en œuvre des réformes sur 8 des 10 domaines couverts par Doing Business.
Au niveau mondial, trois économies africaines ont effectué la plus forte progression à travers différents domaines mesurés par le rapport: le Burundi sur le transfert de propriété, le Bénin sur le commerce transfrontalier et la Côte d’Ivoire sur l’exécution de contrats.
Où est donc le Sénégal ?
CLIMAT DES AFFAIRES : Aminata Touré s’engage à veiller sur la mise en œuvre des réformes
Ecofinance.sn – (Dakar) – Madame le premier ministre sénégalais s’est engagée à veiller personnellement à la mise en œuvre des réformes visant à améliorer l’environnement des affaires.
Le chef du gouvernement veillera personnellement à la mise en œuvre diligente des réformes identifiées dans le cadre du dialogue avec le secteur privé sur les politiques publiques. Aminata Touré en pris l’engagement devant la représentation nationale où elle a décliné lundi sa feuille de route.
«Je veillerai personnellement à la mise en œuvre diligente de ces réformes majeures identifiées dans le cadre du dialogue avec le secteur privé sur les politiques publiques dont il est urgent de mener à terme», a-t-elle promis.
«Je puis déjà vous annoncer que la réforme du code des douanes sera finalisée avant fin 2013, afin de mieux soutenir l’entreprise et les opérateurs privés, à travers des procédures et transactions simplifiées et des régimes douaniers plus favorables», a-t-elle déclaré.
«D’ici à 2015, d’autres réformes interviendront pour améliorer le score du Sénégal au classement doing business et créer un environnement plus favorable pour le secteur privé», a-t-elle poursuivi.
A cet égard, le chef du gouvernement a évoqué au moins cinq procédures administratives liées à l’investissement privé, notamment le permis de construire dont le guichet unique sera lancé en fin octobre 2013.
Aminata Touré a aussi parlé de l’automatisation, d’ici 2015, du paiement des impôts, du transfert de propriété, et de la création d’entreprises.
Elle a annoncé la mise en place d’un dispositif fiscal et juridique incitatif et simplifié, avec la rénovation et la mise en cohérence des codes des douanes, des mines, des investissements, de l’environnement et des impôts, etc.
Elle a également parlé de la finalisation en cours et l’adoption du nouveau régime juridique des partenariats publics privés (loi Construction-Exploitation-Transfert (Cet)).
Le premier ministre a enfin exprimé la détermination du gouvernement d’améliorer la compétitivité des facteurs de production tels que l’énergie, de faciliter l’accès au foncier et au financement, et de disposer de ressources humaines qualifiées.
Un programme d’urgence d’infrastructures sociales contre la pauvreté en gestation
Ecofinance.sn – (Dakar) - Le chef du gouvernement annonce la mise en place d’un Programme d’Infrastructures en faveur des localités les plus défavorisées dès 2014.
Le gouvernement veut apporter des réponses concrètes aux urgences sociales et au besoin de protection des groupes les plus vulnérables.
Pour cela, il envisage de mettre en place un programme d’urgence d’infrastructures sociales en vue de lutter contre la pauvreté.
Selon Aminata Touré qui en a fait l’annonce lundi lors de sa déclaration de politique générale, celle-ci touche 57,3 pour des ménages vivant dans les zones rurales, alors que son incidence (60 pour cent) frappe huit régions sur les quatorze que compte le Sénégal.
D’après elle, il s’agit, dans le cadre de la planification pluriannuelle des investissements publics, de privilégier, par une approche concertée entre les ministères, la réalisation de plateformes d’infrastructures permettant à 2000 villages appartenant aux 62 communautés rurales les plus pauvres, d’avoir accès à l’eau, à l’école, à des services de santé et à des pistes.
En outre, pour élever leur potentiel économique, ces collectivités bénéficieront, dans le cadre d’un ciblage, des programmes d’implantation de fermes agropastorales et d’équipement en matériel de production.
Selon le chef du gouvernement, le programme global concernera à terme 88 communautés rurales, et 3000 villages, et devra toucher près de 1,2 millions de personnes, avec l’objectif d’éliminer progressivement la fracture entre ces localités et le reste du pays.
Les députés invités à interpeller le gouvernement sur le niveau d’exécution de leurs programmes
Ecofinance.sn – (Dakar) – Le premier ministre du Sénégal a invité lundi les députés à interpeller les ministres pour faire le point sur l’état d’avancement de leurs programmes.
Les gouvernés sénégalais vont pouvoir apprécier les progrès et performances de leurs gouvernants. C’est du moins le vœu exprimé lundi par le chef du gouvernement lors de sa déclaration de politique générale devant les représentants du peuple.
«Je souhaiterais que la représentation nationale que vous êtes nous interpelle régulièrement sur le niveau d’exécution des programmes du gouvernement», a dit Aminata Touré.
Elle a ainsi suggéré que les membres du gouvernement viennent à l’Assemblée nationale deux fois par mois, pour faire le point sur l’état d’avancement de leurs programmes respectifs.
Il s’agit pour elle une façon de permettre aux sénégalais d’être régulièrement tenus au courant du travail du gouvernement, leurs élus.
Le premier ministre ne compte pas s’arrêter là. Elle envisage aussi de mettre en place au niveau des ministères des comités consultatifs incluant les acteurs du secteur privé et de la société civile.
Aminata Touré entend également instituer à la Primature un haut comité de suivi des programmes et projets publics.
Autant de mécanismes qui devraient permettre aux sénégalais d’apprécier leurs progrès et leurs performances.
Vers un accroissement des productions végétale et animale à Louga, Matam et Kaffrine
Ecofinance.sn – (Dakar) - Le gouvernement du Sénégal va financer le Projet d’appui à la sécurité alimentaire dans les régions de Louga, Matam et Kaffrine.
Les petits producteurs (agriculteurs et éleveurs), en particulier les femmes des régions de Louga, de Matam et de Kaffrine peuvent s’attendre à un accroissement durable de leurs productions végétales et animales, ainsi qu’à une amélioration de leurs revenus.
Ils devront bénéficier d’un financement du gouvernement devant leur permettre d’assurer la sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté rurale.
Selon la Banque africaine de développement (Bad) qui donne la nouvelle, le gouvernement sénégalais a reçu un don du Programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire d’un montant de 40 millions Usd et d’un prêt du Fonds africain de développement (Fad), pour un montant de 2 million d’Uc en plusieurs monnaies, afin de financer le Projet d’appui à la sécurité alimentaire (Pasa) dans ces régions.
D’après la même source, le projet comporte trois volets.
Le premier a trait au développement des infrastructures agricoles et d’élevage destinées à favoriser la sécurisation, l’accroissement, le stockage, la consommation et la commercialisation des produits végétaux et animaux, avec des interventions d’envergure notamment dans le domaine de l’hydraulique agricole et pastorale.
Le deuxième volet porte sur l’appui à la mise en valeur et à l’organisation des producteurs et des éleveurs avec entre autres, la structuration d’unités pastorales, la création ou la redynamisation des Associations d’usagers des forages (Asufor), la valorisation des bas-fonds rizicoles et la mise ne place de comités de gestion.
Il y a enfin la gestion du projet en respectant les principes d’efficacité, de coordination et d’efficience.
A propos des modes d’acquisition, il est prévu, en ce qui concerne les travaux, un appel d’offres national pour les travaux de réalisation de nouveaux forages pastoraux, de nouveaux forages destinés aux fermes agricoles, d’aménagement des bas-fonds, de mise en place des systèmes d’irrigation sur les fermes, d’aménagement des marres, de construction de bâtiments agricoles et d’élevage, de construction de pistes, de réhabilitation des bassins de rétention, d’aménagement des jardins et de construction de parcs de vaccination.
S’agissant des biens, il est envisagé un appel d’offres international pour l’acquisition de véhicules, un appel d’offres national pour l’acquisition de motos, d’équipements et d’intrants agricoles, d’animaux géniteurs.
Au plan des services, il est prévu la sélection sur la base d’une liste restreinte pour le recrutement des bureaux d’ingénieurs conseils chargés des études et contrôles des différents travaux, d’une partie des activités de formation, des activités de suivi-évaluation et d’audit annuel des comptes.
Les dossiers d’appels d’offres et les demandes de proposition devraient être disponibles en fin octobre 2013.
Les soumissionnaires intéressés peuvent se rapprocher du coordonnateur de l’Unité de gestion du projet, à la direction de l’élevage.
Le Mali prépare un projet de centrales mini et micro hydroélectriques
Ecofinance.sn – (Dakar) – Les localités de Talo, Kourouba, Djenne, Farako 1, Woroni, Billy et Kenieto sont concernées par ce projet que le Mali prépare pour elles.
Situées dans les régions de Ségou, de Koulikoro, de Mopti, de Sikasso et de Kayes, ces localités pourraient bénéficier de centrales mini et micro hydroélectriques.
La République du Mali a reçu de la Banque africaine de développement (Bad), à travers les Fonds d’investissement climat (Cif), une subvention de deux millions deux-cent mille dollars (2.200.000 Usd) en vue du financement des études de faisabilité, d’avant projets détaillés et d’élaboration des Dossiers d’appel d’offres (Dao) dudit.
Selon l’institution financière de qui émane l’information, l’objectif général de cette subvention est de préparer le projet qui va contribuer à la mise en œuvre de la politique énergétique du Mali à travers la valorisation des énergies renouvelables, notamment l’hydroélectricité.
Outre les études de faisabilité, il est prévu le recrutement d’un consultant expert en acquisition de courte durée et d’un consultant expert en suivi-évaluation de courte durée.
Il est envisagé aussi la formation des agents de la Direction nationale de l’énergie du ministère de l’énergie et de l’hydraulique en matière de préparation et mise en œuvre de projets mini et micro centrales hydroélectriques.
Les avis à manifestations d’intérêt devraient être disponibles à partir du mois de novembre 2013 et les dossiers d’appel d’offres à partir de janvier 2014.
Les soumissionnaires intéressés peuvent obtenir des informations complémentaires et devraient confirmer leur intérêt auprès de Sinalou Diawara, direction nationale de l’énergie du Mali, BP 1872 –Bamako - Email : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. - Téléphone : (223) 20224538/20237396 - Fax : (223) 20237396