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Par Ndakhté M. Gaye

Ecofinance.sn – (Dakar) – Le Sénégal est dans la liste des pays bénéficiaires de la nouvelle aide de la Commission européenne pour fournir un accès à l’énergie en Afrique.

 

La Commission européenne a annoncé aujourd’hui, dans un communiqué de presse, les résultats du premier appel de propositions relatif à un programme innovant dont l'objet est de financer la fourniture d’électricité aux citoyens les plus pauvres du monde.Le Sénégal fait parti des pays qui vont bénéficier de cette initiative, à coté de Madagascar, du Burkina Faso, du Cameroun, du Liberia, de la Tanzanie, de la Sierra Leone, de l’Érythrée et du Rwanda. 40 autres pays qui ont fait des propositions n’ont pas été retenus.

 

 

Selon le communiqué, des subventions d’un montant total de 95 millions € (environ 63 milliards Fcfa) ont été octroyées à 16 projets déployés dans ces neuf pays africains afin de fournir un accès à l’énergie dans les zones rurales. Elles se concrétiseront dans des projets d'une valeur globale de plus de 155 millions €, soit 102 milliards Fcfa, (dans le cadre d’un cofinancement avec les candidats) et permettront de fournir de l’électricité à plus de 2 millions de personnes.

 

 

Il s'agit de la première étape d'un programme innovant visant à fournir de l'électricité à des millions d'Africains.

«Au cours des 7 prochaines années, la Commission entend dépenser plus de 2 milliards € (environ 1.312 milliards Fcfa) en faveur de l’énergie en Afrique», indique le communiqué. «Cette aide permettra à son tour de mobiliser des investissements pour plus de 10 milliards €, afin de pallier les déficiences de l'infrastructure énergétique et de permettre ainsi aux entreprises, aux écoles, aux particuliers et aux hôpitaux d’obtenir l’électricité dont ils ont besoin», ajoute la même source.

 

 

En outre, un autre appel de propositions portant sur l’électrification des zones rurales dans les États fragiles (comme le Burundi, le Liberia, la Somalie et le Mali) est en cours d’évaluation. Il devrait avoir des effets positifs supplémentaires pour ces pays, où les besoins en énergie sont les plus importants.

 

L'objectif poursuivi lors de cette prochaine étape sera de veiller à ce que les efforts déployés par l’Union européenne (Ue) pour fournir une énergie durable là où elle est le plus nécessaire portent leurs fruits.

 

Le financement annoncé aujourd’hui est le fruit d’un «appel de propositions», un système de financement de l’Ue permettant aux Ong et aux organisations du secteur public et privé de bénéficier d’une subvention européenne sur la base de la proposition de projet innovant soumise.

Dans le monde, environ 1,3 milliard de personnes n'ont pas accès à l'électricité. Près d'un milliard de personnes supplémentaires n'ont accès qu'à un réseau d'électricité peu fiable. Plus de 2,6 milliards de personnes utilisent des combustibles solides (à savoir la biomasse traditionnelle et le charbon) pour cuisiner et se chauffer.

Un système d'énergie performant qui améliore l'accès à des moyens énergétiques modernes augmenterait les chances des plus pauvres de la planète d'échapper aux effets les plus graves de la pauvreté. L'accès à l'énergie offre aux populations des moyens de générer des revenus – ce qui crée à son tour de la richesse et des nouveaux marchés.

 

Ecofinance.sn – (Dakar) - Les rapports du comité de suivi du contrat de performance de la Senelec et son audit de mise en œuvre feront l'objet de publications.

Les citoyens sauront en fin mars 2014 si la gestion financière et opérationnelle de la Société nationale d’électricité (Senelec) s’est oui ou non améliorée. Selon le Fonds monétaire international (Fmi), le premier rapport du comité de suivi du contrat de performance de la Société nationale d’électricité (Senelec) sera en effet publié le 31 mars 2014.

«Un contrat de performance avec la Senelec a été signé en juin, ce qui devrait en améliorer la gestion financière et opérationnelle. Une évaluation de sa mise en œuvre devrait être effectuée par un cabinet indépendant début 2014», indique l’institution financière dans son rapport consacré à la 6ième revue de l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe) publié mercredi.

D’après l’institution financière, cette première publication inclura un état des lieux du secteur électrique, y compris sa situation financière, ainsi que la stratégie des autorités pour réformer le secteur.

Selon le rapport, les comptes 2012 de la Senelec ont par ailleurs été certifiés en novembre 2013, une étape décisive pour affiner les estimations de l'ampleur des pertes et élaborer un plan de restructuration.

Il relève que les réformes de secteur de l'électricité n'ont guère progressé au cours de l'année écoulée.

Le rapport note cependant des progrès limités qui ont été enregistrés dans la mise en œuvre du plan d'investissement.

La réforme du secteur énergétique reste une priorité macroéconomique.

Une énergie abondante, fiable et abordable est certes essentielle à la croissance et au bien–être de la population, mais pour le Fmi, les subventions au secteur énergétique minent la viabilité budgétaire et la capacité des autorités à investir dans des domaines critiques.

«Les subventions implicites et explicites dépassaient 2,5 pour cent du Pib en 2012 (environ 180 milliards de francs CFA), les prix étant inférieurs d'environ 40 pour cent aux coûts de production», souligne le rapport.

«Malgré d'importantes subventions, les prix continuent de figurer parmi les plus élevés d'Afrique subsaharienne (à environ 0,25 dollar par kWh, voir graphique 1 ci-dessous, soit deux fois plus qu'aux États-Unis)», poursuit-il.

D’après le document, l’appui budgétaire total au secteur devrait diminuer quelque peu en 2013 et 2014, essentiellement grâce à une meilleure composition de la production énergétique et, dans une moindre mesure, aux gains d'efficience réalisés à la Senelec et à la lutte contre la fraude.

«Il restera considérable cependant et dépassera largement le montant budgétisé pour la subvention explicite (80 milliards et 60 milliards de francs CFA en 2013 et 2014 respectivement)», prévient le Fmi.

Selon le Fmi, la stratégie adoptée par les autorités sénégalaises pour résoudre ces questions consiste à accroître l'efficience de la Senelec et à adopter des technologies de production plus efficaces (centrales au charbon construites et gérées par des entreprises privées, par exemple). D’après l’institution, la plupart de ces projets mettront quelques années à atteindre le stade de la mise en service et donc à réduire durablement les subventions à l'électricité en l'absence d'un ajustement des tarifs.

Ecofinance.sn – (Dakar) – La disponibilité de l’énergie et à moindre coût est un levier indispensable sur lequel le Sénégal peut s’appuyer pour accélérer sa croissance.

Le représentant résident du Fonds monétaire international (Fmi) au Sénégal est catégorique sur la question de l’énergie au Sénégal. Pour Boileau Loko qui rencontrait ce matin dans ses locaux les membres du Collectif des journalistes économiques du Sénégal (Cojes), l’accélération de la croissance économique passe obligatoirement par la baisse des coûts de production de l’énergie au Sénégal et sa disponibilité à temps réel.

«La question de l’énergie est un obstacle majeur à l’accélération de la croissance au Sénégal», a-t-il relevé. «Il est nécessaire pour le gouvernement du Sénégal de baisser les coûts de production pour baisser le prix de l’électricité à terme», a-t-il préconisé.

Evoquant les chiffres, Mr Loko fera remarquer qu’entre 160 et 180 milliards F Cfa en 2012, soit 2,5 pour cent du produit intérieur brut (Pib) et plus de 100 milliards en 2013 ont été débloqués par l’Etat pour soutenir le secteur de l’énergie.

Il fait ainsi allusion aux subventions accordées à la Société africaine de raffinage (Sar), à la Société nationale d’électricité (Senelec), qui en plus, ne paye pas d’impôts à l’Etat.

Pour lui, il s’agit là d’une somme importante qui pèse lourd sur les finances publiques. A son avis, cette enveloppe pouvait être destinée à construire des écoles et des hôpitaux et payer les bourses familiales.  

Au plan économique, Boileau Loko trouve également cher pour l’investisseur le coût de l’énergie.

Outre la cherté de l’énergie, le représentant du Fmi a soulevé en même temps le problème de sa disponibilité. Ce qui, à son avis, constitue un facteur bloquant de la productivité.

Mais la baisse du coût de l’énergie et sa disponibilité ne sont pas les seuls facteurs accélérateurs de croissance.

A ces deux éléments fondamentaux, Mr Loko y ajoute la nécessité pour le gouvernement non seulement d’améliorer les recettes fiscales en augmentant la base taxable, c’est-à-dire ceux qui payent l’impôt, mais aussi de rationaliser les dépenses publiques, notamment de fonctionnement.

Les ressources ainsi économisées pourront permettre de financer les investissements et la protection sociale par exemple.

A cet égard, il a rappelé les perspectives de croissance chiffrées à 4,6 pour cent attendue en 2014. 

Ecofinance.sn - (Mbour – Correspondance) - 111 villages du département de Mbour seront raccordés au réseau d’électrification rural d’ici 2015 et à des coûts réduits.

(Correspondance) Papa Mbar Faye

111 villages seront électrifiés, 9.700 autres seront connectés, 39 écoles seront desservies et divers périmètres agricoles seront répartis sur 10 villages de la communauté rurale de Sandiara, tous dans le département de Mbour.

Le directeur général de l’Agence sénégalaise de l’électrification rurale (Aser), Antou Guèye Samba, en a fait l’annonce la semaine dernière à Saly, lors  d’un Comité départemental de développement sur les enjeux et perspectives de la convention d’électrification rurale de Mbour.

Selon lui, ces travaux seront réalisés par le groupement Scl Solutions (Steg-Is, Coseloc, Lcs), l’opérateur adjudicataire du marché.

La réalisation du processus d’attribution de cette concession s’est faite en plusieurs étapes notamment : le lancement de l’appel d’offres international ouvert et l’évaluation, l’adjudication provisoire du marché et la négociation des documents contractuels, la
signature du contrat.

Le volume du financement prévu pour la réalisation du programme d’investissement du concessionnaire, s’élève à environ 6, 89 milliards de francs Cfa, dont 2, 72 milliards  (soit 39, 5 pour cent) représentent la contribution de l’Etat sous forme de subvention aux investissements, et 4,17 milliards (soit 60,5 pour cent) représentent l’apport du concessionnaire.

Avec un appui financier de la Banque mondiale (Ida+Fem) d’environ 2,72 milliards de francs Cfa, utilisé comme subvention de base du gouvernement sénégalais, l’Aser a lancé un appel d’offres international pour le choix d’un opérateur de concession.

Celui-ci a proposé de desservir un grand nombre d’usagers largement supérieur au minima de service sur la base du même niveau de subvention à l’investissement fixé dans le Dossier d’appel d’offres (Dao), en même temps que les tarifs de vente de l’électricité.

En contrepartie de la subvention à l’investissement, le concessionnaire s’est engagé, durant la phase de réalisation de son programme prioritaire (Pper) qui devra s’étaler sur une période de dix-huit (18) mois à compter de la mise en vigueur du contrat de concession, à exécuter ce marché. 

Ecofinance.sn – (Dakar) - Schneider electric a annoncé mardi à Rueil-Malmaison (France) la création des prix Global system integrator excellence pour l'industrie.

Selon un communiqué publié le même jour par ce spécialiste mondial de la gestion de l'énergie, il s’agit des récompenses annuelles qui distingueront les intégrateurs de systèmes à l'origine d'innovations, de réalisations et de services qui aident les organisations industrielles et les opérateurs d’infrastructures à atteindre leurs objectifs techniques et commerciaux.

Partenaires privilégiés de Schneider electric dans le domaine industriel, les intégrateurs de systèmes assurent la conception, le développement et l’accompagnement de systèmes d’automatisation pour répondre aux besoins des clients en termes de performance, de fiabilité, de précision et d’efficacité de leurs opérations.

Ces dernières années, Schneider electric a considérablement élargi son offre d’automatisation et leur propose dorénavant une puissante plateforme qui s’étend sur tout le domaine de l’automatisation, du contrôle-machine aux logiciels et systèmes d’opération.

«Schneider electric s’attache en permanence à développer des liens forts avec les intégrateurs de systèmes les plus innovants du marché, déclare Andrew Brown, directeur du programme alliance intégrateurs de systèmes chez Schneider electric. Grâce aux alliances établies avec nos partenaires intégrateurs de systèmes, nous proposons innovation technologique, savoir-faire industriel et services d’excellence aux clients finaux. En créant les prix Global system integrator excellence, Schneider electric souhaite ainsi mettre à l'honneur les acteurs les plus brillants et talentueux de ce domaine industriel.»

Les prix Global system integrator excellence seront décernés dans quatre catégories :

  • le prix croissance récompensera l’entreprise ayant connu la plus importante croissance de son activité d’une année à l’autre ;
  • le prix développement célébrera l’intégrateur de systèmes ayant généré le plus important chiffre d’affaires annuel ;
  • le prix expertise technique distinguera l'intégrateur de systèmes ayant démontré la meilleure utilisation de PlantStruxure, l’architecture système de Schneider electric dédiée aux clients finaux de l’industrie, ou la meilleure mise en œuvre technique d’un système industriel ;
  • le prix intégrateur de systèmes de l’année honorera l’intégrateur de systèmes s’étant distingué à la fois sur des critères de croissance et de volume de son activité, de savoir-faire et de mise en œuvre technique, ou encore de capacités d’ingénierie et de fidélité à Schneider electric.

Les nominations aux prix Global system integrator excellence sont décidées par des représentants locaux de Schneider electric du monde entier avant qu’un jury constitué de hauts responsables de Schneider electric vote pour désigner les vainqueurs dans chaque catégorie.

L’ensemble des plus de 700 membres de l’alliance Schneider electric intégrateurs de systèmes, présents dans plus de 30 pays à travers le monde, est éligible. Les membres nommés seront annoncés en mars 2014 et les vainqueurs en avril 2014.

L’alliance Schneider electric Intégrateurs de Systèmes est un programme mondial d’accompagnement des intégrateurs de systèmes souhaitant développer leur activité en s’appuyant sur les offres et l’expertise de Schneider electric.

Au-delà du support technique, Schneider electric accompagne ainsi les membres de l’alliance dans l’ensemble de leurs démarches au meilleur bénéfice des clients finaux, souligne le communiqué.

 

           Ecofinance.sn - (Dakar) – Senelec veut se doter des équipements de postes et de réseaux de moyenne tension et basse tension pour la couverture nationale des évènements religieux 2013.

Il devrait y avoir moins de problèmes dans la couverture des évènements religieux de 2013. C’est ce que veut la Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec). Celle-ci est à la recherche de candidats capables d’exécuter les travaux.

Les ouvrages consistent en la fourniture et pose d’équipement électrique pour 10 postes sur portique, fourniture et pose d’équipement électrique pour 07 postes H 61, fourniture de 03 postes préfabriqués avec cellules fermées type modulaire, fourniture et pose de 01 Poste préfabriqué avec cellules fermées type modulaire.

Les travaux concernent également la fourniture et pose de 36.5 kms réseaux basse tension, fourniture et pose de 20 kms de réseaux moyenne tension aérien, fourniture et pose de 4 kms de réseaux moyenne tension souterrain et dépose de 5,4 kms de réseaux aérien sur poteau bois.

           Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations auprès du secrétariat du département équipement de réseaux, sis à Hann route des pères Maristes Dakar téléphone (221) 33839 94 20et prendre connaissance des documents d’appel d’offres aux jours et heures ouvrables.

Ecofinance.sn - (Dakar) - Senelec lance les travaux d’électrification du district sanitaire de Kidira et des villages de Darou Salam Keur Madiop, Touba Fall, Thinène et Ndiayène Khaly.

Le district sanitaire de Kidira et des villages de Darou Salam Keur Madiop, Touba Fall, Thinène et Ndiayène Khaly sont en passe d’être électrifiés. C’est ce qu’envisage la Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec). Elle sollicite d’ailleurs des candidats pour fournir et poser les installations relatives à ces travaux.

Concrètement, le projet consiste en la fourniture et la pose de 04 postes de transformation moyenne tension/basse tension; 10.7 km de réseau moyenne tension; 9 km de lignes aériennes basse tension.

Les localités à électrifier sont le district sanitaire de Kidira; le village de Darou salam Keur Madiop dans la communauté rurale de Mboul, Département de Mbacké; le village de Touba Fall dans la communauté rurale de Nguinthe Kaye, région de kaolack et les villages de Thinène et Ndiayène Khaly dans le département de Linguère à Louga.

            Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations auprès du secrétariat du département équipement de réseaux, sis à Hann route des pères Maristes Dakar téléphone (221) 33839 94 20 et prendre connaissance des documents d’appel d’offres aux jours et heures ouvrables.

 

Ecofinance.sn - (Dakar) - Le Centre international de conférence sera une occasion d’expérimenter à échelle réduite la nouvelle politique de mix énergétique.

Ainsi, selon le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall qui procédait lundi à son lancement à Dakar, il pourra fonctionner le jour, avec de l’énergie solaire. L’eau destinée à l’arrosage et à certains usages sera produite à partir d’un forage alimenté par de l’énergie éolienne.

De ce fait la consommation d’énergie et d’eau sera considérablement réduite tout en facilitant la gestion du centre que l’Etat veut exemplaire pour lui permettre de rayonner sur le plan international et d’être compétitif.

 

Ecofinance.sn – (Dakar) - China Gezhouba group corp. Ltd a été déclaré adjudicataire provisoire du marché de construction de l’aménagement hydroélectrique de Sambangalou par l’Omvg.

China gezhouba group rafle la mise. Selon Justino Vieira, secrétaire exécutif de cette organisation sous-régionale, c’est elle qui a été retenu par le conseil des ministres de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (Omvg) sur les 7 entreprises de la liste restreinte qui ont présenté leurs offres techniques et financières.

M. Vieira s’exprimait mercredi à Dakar lors de la 3ième table ronde des partenaires techniques et financiers.

D’après lui, c’est l’adjudicataire qui réalisera l’aménagement du barrage hydroélectrique de Sambangalou au Sénégal sur le fleuve Gambie d’une puissance installée de 128 Mw et la construction d’un réseau d’interconnexion à haute tension pour l’évacuation de l’énergie, comprenant 1.677 km de lignes à 225 Kv et 15 postes de transformation haute tension/moyenne tension.

Il signale que le délai de réalisation de ces infrastructures est de 50 mois et que la procédure de finalisation de mise au point du contrat est en cours et sa signature interviendra prochainement.

Selon Justino Vieira, les requêtes de financement concessionnel conjointes des pays éligibles de l’Omvg sont en cours de préparation et d’envoi à China eximbank.

Le coût global du projet est de 837,54 millions d’euros, hors taxes et droits de douane, soit 1.108,48 millions de dollars Usd, dont 343,43 millions d’euros pour Sambangalou et 494,11 millions d’euros pour l’interconnexion

Ecofinance.sn – (Dakar) – Les localités de Talo, Kourouba, Djenne, Farako 1, Woroni, Billy et Kenieto sont concernées par ce projet que le Mali prépare pour elles.

Situées dans les régions de Ségou, de Koulikoro, de Mopti, de Sikasso et de Kayes, ces localités pourraient bénéficier de centrales mini et micro hydroélectriques.

La République du Mali a reçu de la Banque africaine de développement (Bad), à travers les Fonds d’investissement climat (Cif), une subvention de deux millions deux-cent mille dollars (2.200.000 Usd) en vue du financement des études de faisabilité, d’avant projets détaillés et d’élaboration des Dossiers d’appel d’offres (Dao) dudit.

Selon l’institution financière de qui émane l’information, l’objectif général de cette subvention est de préparer le projet qui va contribuer à la mise en œuvre de la politique énergétique du Mali à travers la valorisation des énergies renouvelables, notamment l’hydroélectricité.

Outre les études de faisabilité, il est prévu le recrutement d’un consultant expert en acquisition de courte durée et d’un consultant expert en suivi-évaluation de courte durée.

Il est envisagé aussi la formation des agents de la Direction nationale de l’énergie du ministère de l’énergie et de l’hydraulique en matière de préparation et mise en œuvre de projets mini et micro centrales hydroélectriques.  

Les avis à manifestations d’intérêt devraient être disponibles à partir du mois de novembre 2013 et les dossiers d’appel d’offres à partir de janvier 2014.

Les soumissionnaires intéressés peuvent obtenir des informations complémentaires et devraient confirmer leur intérêt auprès de Sinalou Diawara, direction nationale de l’énergie du Mali, BP 1872 –Bamako - Email : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. - Téléphone : (223) 20224538/20237396  - Fax : (223) 20237396 

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